Jamais jamais plus dans mes rêves
l’inexpugnable citadelle
l’inexpugnable citadelle
ses
murs cyclopéens devenus poudre
d’os
ont
déteint sur mon âme
la
poussière du temps
épandue
Gravats
Idoles
abolies
Même
mon eau lustrale
s’est
tarie
Au
creux de ma main
ébréchée
la
grise pulvérulence
des
puissances déchues
Mon
monde comme Tirynthe
effondré
oublié
tesselle
résidu
que tu foules aux pieds
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